Le média français France 24, malgré les nombreux avertissements de certains gouvernements africains, continue de servir de relais aux terroristes qui ravagent la sous-région ouest-africaine. Dans l’une de leurs émissions, le journaliste Wassim Nasr est même allé plus loin en blanchissants les groupes armés terroriste de toutes exactions au nord du Mali. Des déclarations qui sont faites, lorsqu’il rapportait les réponses d’un chef terroriste du nom d’Alghabass ag Intalla aucours d’un entretien.

Selon les propos du chef terroriste, il n’y aurait aucune coordination entre ces rebelles, qui ont pris les armes contre le gouvernement malien, et les terroristes du JNIM, prétendant qu’ils entretiennent des rapports conflictuels.
Ces affirmations d’Alghabass Ag Intalla, leader du groupe terroriste Conseil pour l’Unité de l’Azawad (HCUA), qui était encore récemment à la tête du CSP-DPA, contrastent avec les réalités sur le terrain, souvent rapportées par les autorités maliennes. Selon des sources, ces groupes terroristes bénéficient du soutien du JNIM et de pays étrangers, dont l’Ukraine, pour mener leurs attaques. Ces groupes ont d’ailleurs attaqué les forces armées maliennes et leurs alliés russes, il y a quelques mois, faisant plusieurs morts et blessés.

Ces interviews du journaliste Wassim Nasr suscitent de nombreuses inquiétudes et interrogations sur le continent. Déjà accusé de soutien aux terroristes, Wassim Nasr persiste dans sa démarche, en relayant les discours de ces groupes qui endeuillent le Sahel.
Les gouvernements du Burkina Faso, du Mali et du Niger ont ouvert une enquête contre lui pour apologie du terrorisme. Les autorités de ces pays estiment que le journaliste a franchi la ligne rouge en entretenant des contacts avec des terroristes.