Ali Bongo, ancien président, accompagné de deux de ses fils, a entamé une grève de la faim pour protester contre les actes barbares infligés à sa femme Sylvia et à son fils Nouredinne. Ces révélations ont choqué la communauté internationale et suscité une indignation généralisée.

Les avocats de la famille Bongo ont détaillé les sévices inhumains infligés à Nouredinne, allant des coups de fouet aux tortures à l’électricité avec un taser, en passant par des étranglements et des coups avec des objets contondants tels qu’un marteau et un pied de biche. Sylvia, contrainte d’assister aux tortures infligées à son fils, a également été victime de violences physiques. Ces actes odieux ont été perpétrés dans le cadre d’une dépossession sans limite des biens de la famille, selon les avocats.

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Face à cette escalade de violence et d’injustice, la famille Bongo a décidé de porter l’affaire devant la justice française. Me François Zimeray, avocat d’Ali Bongo, a annoncé le dépôt d’une plainte à Paris pour dénoncer l’arrestation illégale, la séquestration et les actes de torture. Cette démarche vise à obtenir la désignation d’un juge d’instruction en France pour enquêter sur ces accusations et traduire les responsables en justice.

La grève de la faim entreprise par Ali Bongo et ses fils vise à attirer l’attention sur l’urgence de la situation et à faire pression pour obtenir justice. Privés de moyens de communication avec l’extérieur et soumis à des actes de torture, ils sont déterminés à faire entendre leur voix et à obtenir réparation pour les souffrances infligées à leur famille.