L’Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral (ADDI) exprime des préoccupations quant à la faisabilité de la tenue des élections législatives d’ici la fin de mars. Le porte-parole du parti, Benjamin Amouzouvi, a déclaré que « Mars 2024 n’est plus tenable. C’est un fait, on ne peut plus faire de magie pour tenir les élections à cette date ».

Le parti souligne la nécessité d’obtenir des dates précises pour pouvoir planifier efficacement la campagne électorale. Benjamin Amouzouvi a également exprimé le désir d’entamer un dialogue avec l’ensemble de la classe politique pour discuter des modalités pratiques entourant le processus électoral.

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Cette position rejoint celle de Me Dodji Apévon des Forces démocratiques pour la République (FDR), qui considère comme irréaliste la tenue des élections régionales et législatives à la fin du premier trimestre 2024. Les deux partis partagent ainsi des inquiétudes communes quant aux contraintes temporelles et appellent à une évaluation réaliste du calendrier électoral.

Le débat sur la faisabilité des élections législatives souligne les défis organisationnels et logistiques auxquels le pays est confronté. L’ADDI insiste sur la nécessité d’une planification minutieuse et d’un dialogue ouvert entre les acteurs politiques pour garantir des élections justes et transparentes. La résolution de ces questions devient cruciale pour la stabilité politique et le bon déroulement du processus démocratique.