La récente destitution de Mme Nathalie Bitho, administratrice provisoire de l’Hôtel Sarakawa, a suscité un vif intérêt sur les réseaux sociaux. Cette décision abrupte intervient peu après qu’elle ait été reconnue comme l’une des personnalités les plus influentes du continent africain pour ses réalisations entre 2023 et 2024.
Les événements ont pris une tournure dramatique le 29 janvier 2025, lorsque le ministre accompagné d’investisseurs libanais a visité l’hôtel en l’absence de Mme Bitho. Le personnel suspectait une tentative de vente et a montré une certaine réticence à collaborer. Informée, Mme Bitho a exigé un ordre officiel avant toute mesure topographique.
Le lendemain, des agents du cadastre sont arrivés pour effectuer des relevés et exprimer leur intention d’effectuer des forages. Face à cela, Mme Bitho a demandé une autorisation formelle avant d’autoriser ces opérations. Quelques jours plus tard, elle était limogée avec obligation de passation immédiate.
Cette destitution brutale soulève plusieurs questions : s’agit-il d’une simple procédure administrative ou bien est-ce lié à un conflit plus profond autour de la gestion transparente ? Seule l’évolution future apportera des réponses claires sur ce mystérieux renvoi qui continue d’intriguer le public au Togo.